Découverte: les bonbons Papabubble

C’est l’histoire d’une amie de ma soeur qui arrive un soir avec un paquet de bonbons « rapportés du boulot ». C’est gentil, poli, et joli. Oh, très joli en fait. C’est marrant, on dirait de minuscules bonbons sur lesquels sont dessinés les fruits avec lesquels ils sont parfumés. En y regardant de plus près, c’est vraiment bien réalisé. Je peux goûter ? Pastèque, s’il-te-plaît. Et puis mangue. Ensuite, pamplemousse. Il reste du citron ?

Miam

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C’est ainsi que je vous parle aujourd’hui de Papabubble, les meilleurs bonbons que j’ai jamais goûtés à ce jour. Soyons tout de suite clairs: je n’aime pas trop les bonbons. L’apparence gélatineuse, les couleurs flashy, le goût chimique... bof. Autant j’aime bien mettre des fraises tagada sur les gâteaux d’anniversaire, une fois par an, autant je n’en ai jamais acheté sur un coup de tête. Mon achat alimentaire impulsif, ce sont les sushis !

Ce sont des bonbons durs à sucer, avec des couleurs joyeuses mais qui n’agressent pas l’oeil, et les goûts sont clairement identifiables. La seule hésitation possible, c’est entre citron et citron vert, et honnêtement, après avoir goûté les deux, impossible de s’y tromper.

C’est fun, autant pour les enfants (pas les tout-petits tout de même) que pour les adultes. A servir avec un bon thé ou tout simplement pour finir la soirée en beauté, vers minuit.


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Une vraie découverte, ces bonbons !


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Remerciement spécial à Lauriane d’Appartement Malin: sur ces photos, j’ai retouché l’histogramme ! Ce n’est pas encore parfait, mais je progresse. Merci pour le truc !

Remerciements spéciaux également à mes enfants. « Maman, à quoi tu joues avec nos playmobils ? »

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Les enfants et les voyages, ce que j'ai appris

Nous rentrons tout juste de vacances, ce qui veut dire qu’hier, j’ai fait cinq heures et demie de route avec une voiture pleine à craquer de manteaux de ski (ça en fait du volume), auxquels on ajoute deux chats et deux enfants dont aucun n’a fait ne serait-ce qu’une minute de sieste.

Bref, le voyage de l’enfer.

Si vous avez des trucs pour voyager moins désagréablement avec des enfants, indiquez-les (pitié !); en ce qui nous concerne, voici ce que nous avons trouvé. C’est insuffisant, mais ça aide un peu quand même (heeeeelp !).



1. Comme on va nous demander de remettre la même musique un milliard de fois, nous avons essayé de limiter la palette de choix à des trucs audibles un milliard de fois. Nous avons choisi la musique classique, parce que même mes morceaux de rock favoris, en boucle, c’est l’enfer ! Donc, Internet, toi qui m’écoute, sache que nous avons écouté la 5è de Beethoven (le premier mouvement) six fois hier. Ca fait une fois par heure.

Je sais, vous vous dites « mais elle est folle ! ». Maintenant, imaginez six fois, durant le même trajet, Obladi-Oblada ou Yellow Submarine. Maintenant que vous avez compris, vénérez les compositeurs classiques avec moi !


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Dans sa voiture, un grand cerf, regardait par la fenêtre...


2. Nous nous sommes faits à l’idée que si nous sommes en retard, quelqu’un aura une envie pressante et il faudra s’arrêter sur le bord de la route en urgence. Dernière occurence: dans le marais vendéen, vous savez, là où les routes sont TOUTES bordées de magnifiques fossés où coule une douce rivière et où il est impossible de se garer pour s’égarer...

Solution: le pistolet anesthésiant pour rhinocéros.



3. Les repas sur l’autoroute. Ah, les repas sur l’autoroute... solution facile pour cette fois: les bentos ! J’en ai eu plus qu’assez de payer 15 euros l’assiette que mes loulous ne finissent pas parce que c’est mauvais, tandis que je m’endors au volant tellement c’est gras. Ces vacances-ci, à l’aller comme au retour, j’ai passé une petite demie-heure à préparer des bentos simplissimes, avec des choses saines et bonnes (de l’omelette, des pâtes et des fruits frais en clair), et vous savez quoi ? Repas calmes et bentos vidés, les proportions sont parfaites, on a juste dû insister pour les deux dernières bouchées.

J’aurais aimé que les stations essence proposent des aires de pique-nique intérieures, mais nous n’aurions pas été les seuls à nous arrêter sans rien acheter, donc bon, admettons. Nous résolvons le problème en achetant les desserts et en demandant en mode « parents débordés » si nous pouvons nous asseoir puisque nous avons acheté les desserts. Ca passe en dehors des heures de pointe.

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Petites mains de mon loulous dans son bento kawaï... (la boîte, pas le contenu)


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... et ma version adulte (ainsi que la quasi-collection complète de produits Mon Bento... ils devraient me sponsoriser !)



4. Penser à la destination, comme un mantra. Montagne. Montagne. Montagne.

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Mention spéciale à qui trouvera où cette photo a été prise !


Ca marche nettement moins bien dans le sens retour par contre... Maison. Travaux. Réveils tôt. Argh...



5. Remplir l’iPad de dessins animés bien choisis, et dans les pires moments, admettre sa défaite comme parent parfait et le caler entre les deux sièges avants pour que les enfants et le chat puissent en profiter. Rien à dire de plus.



Et vous, vous avez des trucs pour « tenir » les enfants pendant les longs trajets ? Comment faisaient nos parents avant les tablettes ?! Partagez !

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